
Le Parc National des Virunga et sa biodiversité restent vulnérables au risque exceptionnel d’être le théâtre du conflit armées qu’un lieu sans une pluralité de ressource naturelle.
Les guerres à l’Est de la R.D.Congo ont une relation désastreuse avec les ressources naturelles qui conduit à une écologie politique de la guerre en analysant les guerres des ressources, environnementales, de pillage ou de sécession liées aux ressources naturelles.

Les ressources naturelles constituent les moyens de financement des groupes armées et pourtant motivées par d’autres intérêts que les ressources elles-mêmes. Les guerres environnementales sont, elles-mêmes, dépendantes des politiques mises en œuvre.

Est-ce que cet enfant connait ce qu’il fait ?
Son parent lui dit de vendre les alevins !
Quelles sont les questions que vous pouvez vous poser sur ce cas?
Les conflits armés diffèrent selon leur intensité, leur durée et leur extension territoriale mais le parc National des Virunga reste leurs derniers retranchements. On peut distinguer les guerres civiles et les insurrections, la violence criminelle, les conflits intra-armés et le terrorisme.
Le parc national des Virunga qui présente une grande valeur Socio-économique et environnementale, il est malheureusement la réserve la plus menacée d’Afrique avec aussi la convoitise de l’entreprise pétrolière.
Non-respect délimite par les communautés riveraines à la recherche de terre arable au sein du Parc.

Il y a nécessité de pousser les réflexions plus loin sur comment impliqué ou concilier les intérêts du Parc dans ses limites et ceux de la communauté riveraine, tous pour une meilleur Conservation et protection des écosystèmes de notre patrimoine mondiale, pour le bien d’être des générations présentes et futures.
Apres plusieurs panels de plaidoyer dont celui de Lubero tenue à Kirumba sous le thème : « l’impact des violences communautaires sur les ressources naturelles et les conditions socio-économiques de la population en territoire de Lubero », organisé par CEPED et la Coordination de la Société Civil de Lubero, grâce à l’appui de l’alliance du comité Néerlandais de l’UICN, Fédération Internationale des Amis de la Terre et Tropenbos International,
Ce dernier qui avait comme objectif : « Contribuer à la restauration et à la gestion des écosystèmes de manière durable, concerté et inclusive pour la stabilité du paysage Virunga» les participants se sont engagé à travers ce communique cliqué sur ce lien : http://ceped-rdc.org/?attachment_id=1782 et le rapport :http://ceped-rdc.org/?attachment_id=1788
Notons que la sauvegarde de la biodiversité et la gestion durable des ressources naturelles dépend énormément de la cohésion entre différentes parties prenantes.